L'actualité de l'Administration Communale d'Aubange

Catégorie : horsterritoire Page 31 of 43

Partageons mieux la route, pour la sécurité de tous – Campagne de sensibilisation à la sécurité routière de l’AWSR

Après cette longue période atypique quant à nos déplacements, et le développement de la mobilité douce, la rentrée de septembre peut s’avérer périlleuse sur les routes. L’Agence wallonne pour la Sécurité routière (AWSR) invite les usagers de la route à être attentifs les uns aux autres, pour un meilleur partage la route, et une sécurité renforcée.

Le 1er septembre sonne traditionnellement l’heure de la rentrée. Or cette année, avec les aléas du COVID19, c’est particulier : de nombreux cyclistes et piétons se sont déployés avec bonheur ces derniers mois et se déplacent au cœur d’une circulation relativement « allégée ». La donne va changer en septembre en termes de densité de trafic, et pourrait surprendre plus d’un usager de la route, qu’il soit piéton, automobiliste, cycliste, motard etc., avec le risque d’accident qui va de pair.

Une sensibilisation à la sécurité routière des différents usagers s’impose donc.

En effet, à titre illustratif, déjà l’an dernier (2019), entre juillet/août et septembre, on a pu constater les évolutions suivantes :

  • Une hausse de 7% de la moyenne journalière du nombre d’accidents corporels ;
  • Une augmentation de 10% des accidents impliquant un cycliste. Ce chiffre passe à 20% s’agissant d’un accident impliquant un cycliste et une voiture ;
  • Pour les piétons le constat est encore plus interpellant : 30% d’accidents en plus entre juillet/août et septembre.

Les panneaux de signalisation, premières interfaces de sécurité routière

C’est en capitalisant sur certains visuels de panneaux de signalisation routière, présents aux endroits clés de Wallonie, que cette sensibilisation à la présence accrue de cyclistes & piétons a été conçue.

En effet, les panneaux de signalisation nous informent sur les potentiels dangers de la route et sur la vulnérabilité de chacun. Ils font partie de notre quotidien, toutefois il nous arrive de ne plus y prêter l’attention requise.

L’accroche de la campagne se fait en ajoutant une sensibilité et une réalité humaine aux panneaux de signalisation vélo/piéton (ndlr abstrait → concret→ humain).

Ainsi, dans le souci d’inciter utilement à un meilleur partage de la route, la campagne de l’AWSR vise à stimuler la prise de conscience que ces panneaux de signalisation n’ont pas qu’un simple aspect informatif, ils servent à protéger de vraies personnes.

Chaque panneau signale de vraies personnes. Partageons mieux la route

Chaque panneau signale de vraies personnes. Partageons mieux la route, c’est le message que l’Agence wallonne pour la Sécurité routière (AWSR) soutient à l’occasion de la rentrée de septembre 2020.

Cette campagne est soutenue par des partenaires tels que Coyote, le GRACQ, Tous à pied, le Ligueur.

Ensemble, partageons mieux la route pour préserver la vie de tous.

http://www.tousconcernes.be/campagne/partageons-mieux-la-route-pour-la-securite-de-tous/

Obligation scolaire

Nouveauté de la rentrée scolaire de septembre 2020 :
« l’obligation scolaire commencera à 5 ans »
(et se terminera toujours à l’âge de 18 ans)

La scolarité, un droit fondamental

Le droit à l’instruction est un droit fondamental consacré non seulement par la Constitution belge en son article 24, mais également par différents textes internationaux. Ainsi, la Convention du 20 novembre 1989 relative aux droits de l’enfant, ratifiée par la Belgique en 1991, prévoit en son article 28 que les États parties reconnaissent le droit de l’enfant à l’éducation.

En plus d’être un droit, l’instruction d’un mineur est une obligation qui incombe à chaque parent ou personne investie de l’autorité parentale.

En Belgique

L’obligation scolaire porte sur tous les mineurs en âge d’obligation scolaire, domiciliés ou résidant sur le territoire belge, et ce sans distinction de statut. Elle commence avec l’année scolaire qui prend cours dans l’année civile durant laquelle l’enfant atteint l’âge de 5 ans et se termine à la fin de l’année scolaire dans l’année civile au cours de laquelle il atteint l’âge de 18 ans.

Pourquoi l’âge de l’obligation scolaire a-t-il été abaissé ?

Car la fréquentation de l’enseignement maternel est un facteur de réussite pour l’enseignement primaire et qu’il existe une corrélation entre le nombre d’années passées dans l’éducation préscolaire et les résultats scolaires ultérieurs.

La fréquentation de l’enseignement dès la maternelle permet ainsi à tous les enfants d’avoir disposé d’au moins d’une année pour s’intégrer dans un milieu social autre que le milieu familial. Cela permet aussi aux enfants de se familiariser avec l’environnement scolaire avant d’entamer l’enseignement primaire.

De plus, cette nouvelle législation vise à faire de l’école un véritable ascenseur social en s’imposant comme un instrument de lutte contre les inégalités et discriminations dont sont victimes les enfants dès leur naissance.

Pour trouver des places disponibles dans une école maternelle organisée ou subventionnée par la Fédération Wallonie-Bruxelles, consultez le site http://www.placesecolesmaternellesetprimaires.cfwb.be .

Un dépliant d’information ainsi qu’une affiche ont été réalisés à cet égard : Obligation scolaire à 5 ans – affiche et dépliant

Comment respecter l’obligation scolaire ?

Il existe plusieurs manières de respecter l’obligation scolaire :

  • S’inscrire dans une école de la Fédération Wallonie-Bruxelles ou de la Communauté flamande ou de la Communauté germanophone (Ostbelgien) ;
  • S’inscrire dans une école qui n’est pas organisée ou subventionnée par l’une des 3 Communautés de Belgique mais dont l’enseignement est reconnu (ex : école située sur le territoire d’un État limitrophe à la Belgique, écoles européennes, écoles internationales, SHAPE, etc.) ; Dans ce cas, il faut en informer le Service du Droit à l’instruction au plus tard le 5 septembre ;
  • S’inscrire dans un Institut ou Service de formation pour les petites et moyennes entreprises (IFAPME https://www.ifapme.be / SFPME https://www.efp.be):
  • S’inscrire dans une école privée en ayant envoyé une déclaration d’enseignement à domicile au Service de l’enseignement à domicile au plus tard le 5 septembre. Pour plus d’informations, consultez la page L’enseignement à domicile et assimilé
  • Suivre un enseignement à domicile en ayant envoyé une déclaration d’enseignement à domicile au Service de l’enseignement à domicile au plus tard le 5 septembre. Pour plus d’informations, consultez la page L’enseignement à domicile et assimilé

Je suis inscrit dans une école de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Dois-je y aller tous les jours ?

L’obligation scolaire est à temps plein jusque l’âge de 15 ans si tu as suivi au moins les 2 premières années de l’enseignement secondaire de plein exercice.

Par contre, si tu n’as pas suivi les 2 premières années de l’enseignement secondaire de plein exercice, alors tu es soumis à l’obligation scolaire à temps plein jusque l’âge de 16 ans.

Après cette période d’obligation scolaire à temps plein, une période d’obligation scolaire à temps partiel est permise jusque 18 ans. On vous explique plus bas dans la page en quoi consiste l’obligation scolaire à temps partiel.

Lorsque l’obligation scolaire est à temps plein, tu dois fréquenter l’école régulièrement. Cela signifie que tu dois être présent en classe tous les jours. Si tu t’absentes, un justificatif doit alors être transmis à l’école, soit le lendemain de l’absence si elle ne dépasse pas 3 jours, soit le 4ème jour d’absence si celle-ci dépasse 3 jours.

Si tu ne remets aucun justificatif à ton l’école dans les délais, tes absences sont considérées comme injustifiées et l’école se doit d’en informer le Service du Droit à l’instruction. On vous explique plus bas dans la page quelles sont les missions de ce service.

Que veut dire l’obligation scolaire à temps partiel ?

Cela veut dire que le mineur peut s’inscrire dans un type d’enseignement qui propose de combiner la formation générale et la pratique professionnelle. Il s’agit d’un enseignement alternatif à l’enseignement traditionnel de plein exercice. Pour ce faire, le mineur doit donc s’inscrire dans une des filières suivantes:

  • dans l’enseignement secondaire en alternance (pour plus d’informations consultez la page L’enseignement en alternance)
  • à une formation en alternance organisée par l’Institut wallon de formation en alternance et des indépendants et des petites et moyennes entreprises (IFAPME https://www.ifapme.be) ou le Service formation petites et moyennes entreprises créé au sein des services de la Commission communautaire française (SFPME https://www.efp.be) ;

Si vous souhaitez des informations supplémentaires concernant l’obligation scolaire, consultez la page Contrôle de l’obligation scolaire.

Contacts

Pour des questions relatives à l’obligation scolaire:

Le Service du Droit à l’instruction
Adresse: Rue Adolphe Lavallée 1 – 1080 Bruxelles

Tél: 02 690 84 38
E-mail: obsi@cfwb.be

Pour des questions relatives à l’inscription dans une école organisée ou subventionnée par la FWB ou si vous rencontrez des problèmes lors d’une inscription dans une école:

Service des inscriptions et de l’assistance aux établissements scolaires
Adresse: Rue Adolphe Lavallée 1 – 1080 Bruxelles

Montante Sabrina: 02 690 8497 (de 14h00 à 16h30) ou sabrina.montante@cfwb.be
Rusura Arlette: 02 690 8893 (de 14h00 à 16h30) ou  arlette.rusura@cfwb.be

Pour des questions relatives à l’inscription à l’enseignement à domicile ou dans une école privée:

Service de l’Enseignement à Domicile
Adresse: Rue Adolphe Lavallée, 1 – 1080 Bruxelles
Tél: 02 690 86 90
E-mail: edep@cfwb.be

Cadre légal

Appel à initiatives – Semaine du commerce équitable 2020


Pour la 9ème édition, la Plateforme du Commerce Equitable en Province de Luxembourg propose à tous les acteurs luxembourgeois de participer à la semaine du commerce équitable, une campagne nationale du Trade for Development Centre qui braque les projecteurs sur le commerce équitable partout en Belgique.
Cet appel à initiatives est l’occasion de montrer que la solidarité est une réalité déjà à l’œuvre en province de Luxembourg et que chacun peut rejoindre le mouvement.
Les actions de sensibilisation que vous proposez visent à mieux comprendre comment fonctionne le monde et comment agir.

Débat, atelier, jeu, quizz, webinaire, conférence en ligne, spectacle en petit comité… Soyez créatifs et imaginatifs !

 

Avec la situation actuelle de pandémie du Covid-19, la semaine du commerce équitable risque d’être un peu différente cette année, il faudra sans doute concevoir des événements permettant le respect des gestes barrières et de distanciation sociale. Mais c’est aussi plus que jamais le moment de rappeler l’importance de la solidarité Nord-Sud !

Pour participer, il suffit de remplir le formulaire d’inscription et de le renvoyer complété pour le 7 septembre 2020 au plus tard à l’adresse : info@luxembourgequitable.be

 

Prévention fortes chaleurs /!\

Avertissement « Forte chaleur et pics d’ozone »

Prévisions de température :

L’IRM prévoit, à partir de mercredi, un temps de plus en plus chaud avec une importante augmentation des températures. Jeudi, la température à Uccle devrait atteindre 32°C. Les journées suivantes devraient également être très chaudes avec des températures maximales supérieures à 30°C. L’indicateur de température qui est utilisé dans le cadre du plan Forte chaleur et pics d’ozone est dépassé. Selon les prévisions de l’IRM, la somme des différences entre les températures maximales pour les 5 jours à venir et le seuil de 25°C est supérieure à 17°C.

Observations et prévisions ozone :

Pour les deux prochains jours on ne prévoit pas de dépassement du seuil d’information européen pour l’ozone. Par la suite, les conditions météorologiques, températures élevées et ensoleillement important, combinées à la pollution de l’air, entraineront une augmentation des concentrations d’ozone. Actuellement, il est difficile d’évaluer précisément cette augmentation ou de prévoir si les seuils d’information EU, 180 μg/m³ sera dépassé ou non.

Les recommandations suivantes sont applicables à toute la population et, en particulier aux personnes fragilisées :

  • boire plus que d’habitude, de préférence de l’eau ;
  • éviter les boissons alcoolisées et les boissons fortement sucrées ;
  • prendre soin des bébés, des jeunes enfants et des personnes nécessitant des soins, en les hydratant suffisamment ;
  • rester à l’intérieur, spécialement pour les personnes souffrant de problèmes respiratoires ou cardiovasculaires ;
  • rester dans des endroits frais et se rafraîchir régulièrement ;
  • rester au calme et éviter les activités physiques importantes ;
  • se protéger du soleil en utilisant une protection solaire et en mettant un chapeau ;
  • fermer les volets et les rideaux durant la journée et aérer l’habitat durant la nuit ;
  • en cas de coup de chaleur ou de fatigue, de problème respiratoire, contactez un médecin.

 

Tous les détails figurent ici

Nous vous invitons également à prendre en compte les recommandations émises dans la circulaire « canicule et Covid-19 » publiée le 29 juin 2020.

Avis aux riverains d’un cours d’eau

Vous occupez un terrain en bordure de cours d’eau ou êtes propriétaire d’un étang alimenté par un ruisseau et vous envisagez de réaliser des travaux ? Que faut-il savoir ?

Tout d’abord, rappelons que les cours d’eau en Wallonie sont répartis en différentes catégories :

  1. Les voies hydrauliques gérées par le Service Public de Wallonie (SPW-Mobilité et Infrastructures),
  2. Les cours d’eau non navigables :
  • Classés :
  • de 1ère catégorie sont gérés par le SPW-DGO3-DCENN,
  • de 2ème catégorie sont gérés par la Province,
  • de 3ème catégorie sont gérés par la Commune.
  • Non-classés : sauf convention ou acte contraire, l’entretien d’un ruisseau non classé incombe, selon le Code civil (articles 640 et suivants), au propriétaire du fonds sur lequel il s’écoule. Si celui-ci est mitoyen entre deux propriétés, l’entretien incombe pour moitié à chaque riverain. En règle général, tout ce qui n’est pas classé est considéré comme non classé (source, ruisselet,…).

Pour savoir à quelle catégorie appartient le cours d’eau qui vous concerne, vous pouvez : contacter votre administration provinciale, communale ou le Contrat de Rivière, consulter le site : http://geoportail.wallonie.be/walonmap

Quels que soient les travaux que vous souhaitez entreprendre, contactez préalablement :

  • Pour les cours d’eau non navigables de 3ème catégorie : votre administration communale.
  • Pour les cours d’eau non navigables de 2ème : les Services Provinciaux Techniques, service cours d’eau : 063/21.27.59 ou spt.voiries@province.luxembourg.be
  • Pour les cours d’eau de 1ère catégorie : la Direction des Cours d’Eau Non Navigables (SPW-DGO3-DCENN) : 084/37.43.38
  • Pour les voies hydrauliques : le Département des Voies Hydrauliques du SPW-Mobilité et Infrastructures : 082/22.59.70

Quelques règles de base à savoir :

  • Toute modification du relief du sol ainsi que toute construction (pont, passerelle, étang…) nécessitent un permis d’urbanisme.
  • Une autorisation domaniale est également nécessaire pour tous travaux tels qu’approfondissement, élargissement, rectification et généralement toutes modification sous, dans ou au-dessus du lit mineur du cours d’eau non navigable ou des ouvrages y établis. Cette autorisation domaniale est délivrée par le SPW pour les cours d’eau de 1ère catégorie, la Province pour les cours d’eau de 2ème catégorie et la Commune pour les cours d’eau de 3ème catégorie.
  • Les travaux d’entretien et de petite réparation (Définition à l’article D.37 du Code de l’Eau) aux cours d’eau non-navigables sont exécutés par les gestionnaires.
  • Il est interdit d’obstruer un cours d’eau ou d’y introduire à moins de 6 mètres de la crête de berge des objets ou matières pouvant être entrainés par les flots et entraver le libre écoulement des eaux, dégrader ou détruire le cours d’eau ou porter atteinte à la libre circulation des poissons.
  • En tant que riverain ou propriétaire d’ouvrage sur un cours d’eau non navigable, vous devez :
    • Livrer passage aux agents de l’administration, aux ouvriers, aux engins nécessaires pour l’exécution des travaux et aux autres personnes chargées de l’exécution de travaux ou d’études.
    • Laisser déposer sur votre propriété, sur une bande de 6 mètres, à compter de la crête de berge, les matières enlevées du lit du cours d’eau, ainsi que les matériaux, l’outillage et les engins nécessaires pour l’exécution des travaux.
    • Entretenir et réparer votre ouvrage.
  • Il est interdit d’endommager, de dégrader ou d’affaiblir le lit mineur, en ce compris les berges, ou les digues d’un cours d’eau.
  • Il est interdit de déposer les tontes de pelouse, tailles de haies et autres déchets organiques sur les berges des cours d’eau ou à moins de 6 mètres de la crête de berge.
  • A cela, il faut ajouter les prescriptions spécifiques d’autres réglementations : pratiques agricoles le long des cours d’eau, distances de plantations, prescriptions Natura 2000, déchets, traçabilité des terres, qualité des eaux de surface, …

Pour tout complément d’information, n’hésitez pas à prendre contact avec votre commune, le Contrat de Rivière ou le gestionnaire du cours d’eau.
Lien utile : nouveau cadre juridique : https://www.wallonie.be/fr/actualites/cours-deau-non-navigables-vers-une-gestion-plus-durable

Télé-Accueil Luxembourg

Depuis plus de quarante ans, le centre de Télé-Accueil Luxembourg, service d’aide par téléphone, est à l’écoute des habitants de notre province. Accessible 24h/24 via son numéro gratuit 107, l’ASBL reçoit chaque jour, dans l’anonymat, une trentaine d’appels de personnes en difficulté.

Lors de ces appels, les thèmes abordés sont très variés mais certains sujets sont plus fréquemment évoqués que d’autres comme la solitude, les problèmes relationnels, les difficultés psychologiques ou encore la santé physique. Les problèmes sociaux et matériels, les idées suicidaires, les situations de violence ou encore les problèmes liés à l’alcool font également partie des appels reçus à Télé-Accueil mais restent moins fréquents.

Finalement, quelle que soit la difficulté abordée, il s’agit toujours, au bout du fil, de personnes traversant une souffrance. En effet, il n’existe pas de « simples » discussions à Télé-accueil, l’expérience nous montre que derrière chaque appel se cachent bien souvent un vécu difficile et/ou des émotions plus ou moins fortes voire désagréables. Partant de ce principe, ce qui peut sembler être une banalité pour l’un est en réalité chargé d’émotions pour un autre. Chaque prise de parole est donc porteuse de quelque chose qui pourra, suivant le contexte de l’appel, être ou non abordé. Les écoutants tentent en effet de rester attentifs aux différents signes perceptibles dans l’échange et essaient, autant que possible, d’aider les personnes à aborder ce qui ne parvient pas toujours à s’exprimer d’emblée.

Autrement dit, la mission de Télé-Accueil est d’offrir à chacun un espace de parole et d’écoute confidentiel dans lequel la personne se sent suffisamment en confiance pour pouvoir parler librement de ses difficultés. Pour qu’une telle parole puisse se libérer, il est indispensable que chacun se sente accepté et reconnu dans ses préoccupations. Une attitude d’écoute particulière est par conséquent nécessaire : la bienveillance, l’empathie et le non-jugement mis en œuvre par les écoutants bénévoles, constituent les ingrédients de base d’une relation de confiance.

L’objectif de Télé-Accueil n’est donc pas de fournir des conseils ou des solutions. La philosophie de l’ASBL se trouve ailleurs : l’appelant est considéré comme une personne capable, possédant des ressources. Dés lors, la mission de Télé-Accueil consiste plutôt à aider la personne à explorer et éclaircir les difficultés qu’elle vit afin de lui faire prendre conscience de ses ressources personnelles et de les faire émerger. Si besoin est, cette approche n’exclut cependant pas une orientation des personnes vers des services plus spécifiques.

Devenir bénévole écoutant à Télé-Accueil ne s’improvise donc pas. Il est essentiel que les candidats puissent être formés aux principes de l’écoute active et aux notions de communication interpersonnelle avant de devenir bénévoles. C’est pourquoi l’ASBL organise régulièrement des sessions de formation à destination des candidats. Cette formation initiale est toujours complétée par un accompagnement assuré par des psychologues tout au long de l’engagement (sous forme de supervision de groupe mensuelle).

Afin de renforcer son équipe et continuer à mener à bien sa mission, Télé-Accueil est régulièrement à la recherche de nouveaux bénévoles. Cette activité, qui ne nécessite aucun prérequis particulier, est ouverte à toute personne sensible aux relations humaines et animée par le désir d’aider l’autre en souffrance. L’engagement en tant que bénévole nécessite néanmoins une disponibilité de 18 heures par mois ainsi qu’une certaine flexibilité horaire.

Si vous êtes intéressés par ce projet, que vous souhaitez nous rejoindre et avoir des informations sur la prochaine session de formation, n’hésitez pas à nous contacter au 063/23 40 76, à visiter notre site internet ou à nous envoyer un mail à tele-accueil-luxembourg@skynet.be.

Port du masque obligatoire dans certains lieux

⚠️ Attention, à partir de ce samedi 11 juillet 2020, le port du masque devient OBLIGATOIRE dans les lieux suivants :
  • les magasins et les centres commerciaux
  • les cinémas
  • les salles de spectacle ou de conférence
  • les auditoires
  • les lieux de culte
  • les musées
  • les bibliothèques.

Arrêté de police relatif aux membres des mouvements de jeunesse

Le Gouverneur de la province de Luxembourg,

[…]

Arrête

Article 1er. Sur l’ensemble du territoire, il est interdit aux membres des mouvements de jeunesse de participer, dans le cadre des camps d’été, à des randonnées de plusieurs jours en groupe ou de manière individuelle.

Article 2. Sur l’ensemble du territoire, il est interdit aux membres de mouvements de jeunesse de passer la nuit en dehors de l’infrastructure du camp.

Article 3. Sur l’ensemble du territoire, il est interdit aux membres de mouvements de jeunesse de réaliser du porte-à-porte.

Article 4. Les autorités communales et les autorités de police administrative sont chargées de l’exécution du présent arrêté.

Article 5. Le présent arrêté entre en vigueur le 1er juillet 2020 jusqu’au 31 août 2020.

Lire l’entièreté de l’arrêté de police

Rétablissement après coupure de votre compteur à budget  

Si vous avez bénéficié de la PÉRIODE DE NON COUPURE PENDANT LE CONFINEMENT et que vous ne vous êtes pas rendu dans un point de rechargement avant le 3 juillet à 23h, votre compteur a été coupé. Pour rétablir la situation et bénéficier d’énergie, vous devez VOUS RENDRE DANS UN BUREAU D’ACCUEIL ORES afin de RECEVOIR UNE CARTE DE DÉPANNAGE pour relancer votre compteur.

1. Munissez-vous de votre carte de rechargement et rendez-vous dans un bureau d’accueil ORES afin de recevoir votre carte de dépannage.
2. Passez la carte de dépannage dans votre compteur. Votre compteur se relance et vous avez de l’énergie durant 10 jours maximum.
3. Passez le plus rapidement possible votre carte de rechargement habituelle dans votre compteur et assurez-vous que le code 9 s’affiche sur la droite de l’écran. Ensuite, présentez-vous dans un point de rechargement afin d’y passer votre carte. ATTENTION, vous ne devez pas mettre d’argent sur celle-ci. Si vous n’avez pas effectué cette démarche après 10 jours, votre compteur sera de nouveau coupé.

Pour bénéficier de l’aide COVID-19, recommencez l’opération compteur-borne-compteur. Vous avez jusqu’au 30 octobre pour bénéficier des 100 € pour l’électricité et des 75 € pour le gaz.

Retrouvez la liste des bureaux d’accueil ORES et leurs horaires habituels sur www.ores.be/cab.
HORAIRE D’OUVERTURE SPÉCIAL le samedi 4 juillet de 8h à 16h et le dimanche 5 de 9h à 12h (à l’exception du bureau d’accueil de Perwez)

ARLON
Av. Patton, 237
Du lundi au vendredi de 08:00 à 12:00 et de 13:00 à 15:30

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