L'actualité de l'Administration Communale d'Aubange

Catégorie : horsterritoire Page 19 of 43

ASBL Sauvons Bambi – Le drône pour sauver les faons

Nous intervenons bénévolement avec un drone sur appel des agriculteurs ou des communes pour détecter et sauver les faons, les levrauts, les nids… avant la fauche en Wallonie.

Chaque année en Wallonie, des milliers d’oiseaux nicheurs au sol sont détruits par les travaux de broyage des talus et bords de route malgré les fauches tardives et malgré les soins des opérateurs.

De même, les agriculteurs sont dépités de voir, malgré leurs précautions, les faons de chevreuils mutilés et/ou tués accidentellement par les faucheuses.

En effet, les jeunes faons, qui naissent pendant les mois de mai et juin, restent couchés dans les hautes herbes afin de se cacher des prédateurs. Malheureusement, lorsqu’un agriculteur fauche son champ, ceux-ci restent immobiles, au lieu de s’enfuir.

La solution existe

Comme vous pourrez le voir dans le reportage TV ci-dessous, l’ASBL Sauvons Bambi réalise, à l’aide de drones munis de caméras thermiques ou classiques, à un survol des champs, avant la fauche, afin de détecter la présence de faons, levreaux, nids de perdrix, faisans, alouettes des champs, etc.

Leur mission comprend :

  • la mise en relation de pilotes de drone avec le demandeur ;
  • la sensibilisation à la problématique, catastrophique pour la faune et dangereuse pour le bétail (maladie du botulisme) ;
  • le sauvetage des animaux ;
  • le recensement animalier ;
  • le comptage printanier des perdrix ;
  • le marquage des faons et levreaux pour le suivi des populations.

Demande d’intervention

Devenir bénévole

Contact

Go For Culture – Spectacle gratuit

Vous aimeriez voir le spectacle de Bruno Coppens ou Alex Vizorek gratuitement?

Soyez les invités de la Maison de la Culture d’Arlon !

Venez démontrer avec nous qu’une salle de spectacle bien ventilée et un protocole Covid sérieux suffisent pour accueillir des spectateurs sans aucun risque sanitaire.
Cet essai-pilote se fera en étroite collaboration avec l’épidémiologiste Yves Coppieters.

!! Inscriptions avant le 31 mai !!

Le principe

800 personnes réparties en deux groupes-tests et deux tests salivaires rapides à faire les samedi 5 et 12 juin.

Le but

Démontrer que le virus ne se propage pas plus dans un groupe ayant été au théâtre que dans un second groupe ne s’y étant pas rendu.

L’agenda

  • Samedi 5 juin après-midi : premier test PCR par prélèvement salivaire (et non par frottis) des 800 participants
  • Samedi 5 juin à 20h30 : spectacle de Bruno Coppens dans le Grand Théâtre de la Maison de la Culture pour 400 personnes
  • Samedi 12 juin après-midi : deuxième test PCR par prélèvement salivaire (et non par frottis) des 800 participants
  • Jeudi 23 septembre à 20h30 : spectacle d’Alex Vizorek dans le Grand Théâtre de la Maison de la Culture pour le second groupe de 400 personnes

La procédure

  • Inscrivez-vous sur https://www.goforculture.be ;
  • Par tirage au sort réalisé par DNAlytics, 400 spectateurs assisteront gratuitement au spectacle de Bruno Coppens le 5 juin et 400 autres personnes recevront une place pour le spectacle d’Alex Vizorek le 23 septembre ;
  • Les 800 spectateurs qui seront tirés au sort par DNalytics seront invités à payer avant le 5 juin un droit de réservation de 10€ qui leur sera remboursé lors du 2e test le 12 juin ;
  • Les places vous seront remises le 5 juin pour Bruno Coppens et le 12 juin pour Alex Vizorek.

Plus d’informations

Maison de la Culture d’Arlon
1 parc des Expositions
6700 ARLON
+32 63 24 58 50
secretariat@maison-culture-arlon.be

 

#GoForCulture, une initiative de la Fédération Wallonie-Bruxelles

 

 

Chemins réservés

Il existe différentes situations qui soumettent les piétons à un partage d’une partie de la voie publique avec d’autres usagers plus faibles, principalement les cyclistes. Le maître mot dans ces situations, c’est la convivialité et l’attention mutuelle.

C’est notamment le cas sur ce qu’on appelle les chemins réservés. Ces chemins sont annoncés par un signal routier carré, sur fond bleu, et avec dessus des pictogrammes représentant selon le cas des piétons, des cyclistes, des cavaliers, des tracteurs ou le nouveau logo  »speed pedelec ». Ce signal est présent aux accès du fameux réseau RAVeL, mais pas seulement.

Outre les catégories d’usagers dont le symbole est reproduit sur les signaux placés à leur accès, les catégories d’usagers suivantes peuvent circuler sur ces chemins :

  1. les véhicules se rendant ou venant des parcelles y afférant ;
  2. les tricycles et quadricycles non motorisés ;
  3. les véhicules attelés à condition que le symbole d’un véhicule agricole soit reproduit sur les signaux ;
  4. les véhicules d’entretien, affectés au ramassage des immondices, de surveillance et les véhicules prioritaires.

Qu’en est-il de la vitesse ?

Celle-ci a été fixée à 30 km/h pour tous les types d’usagers qui fréquentent un chemin réservé. Un cycliste doit donc faire attention également à modérer sa vitesse, ceci ayant pour but de garantir la sécurité de tous les usagers des chemins réservés.

Précautions générales

Les usagers de ces chemins ne peuvent se mettre mutuellement en danger ni se gêner. Ils doivent redoubler de prudence en présence des piétons, des cyclistes, des conducteurs de tricycles et quadricycles non motorisés, des cavaliers et des véhicules attelés.

Précisons aussi que les jeux sont autorisés sur un chemin réservé, mais bien entendu, ces jeux ne doivent pas gêner les autres usagers.

Enfin, il faut être particulièrement prudent aux accès et sorties de ces chemins. Sur le RAVel par exemple, les croisements avec des routes sont fréquents. La signalisation du RAVel ne donne presque jamais la priorité à ses utilisateurs par rapport au trafic automobile des autres voiries, mais quand vous croisez la route d’un RAVel, soyez malgré tout vigilant aux intersections !

Source

Pratiques funéraires – Arrêté du Gouverneur de la province de Luxembourg

Ce jeudi 20 mai 2021, le Gouverneur de la province de Luxembourg Olivier Schmitz a pris un arrêté concernant les pratiques funéraires, en voici un extrait :

Article 1er – Le transport de tout défunt ne peut être réalisé que par les entreprises de pompes funèbres agrées et à destination :

  • d’une chambre mortuaire qu’elles abritent ;
  • du lieu de la cérémonie confessionnelle ou non confessionnelle dans un bâtiment prévu à cet effet ;
  • du lieu de crémation ou du lieu de sépulture.

Article 2 – Toute conservation d’un défunt à domicile ou tout transport de défunt vers son domicile sont strictement interdits.

Article 3 – Pour l’organisation des périodes de visite, l’entreprise de pompes funèbres veille à mettre à disposition un salon funéraire permettant d’assurer le respect des règles de distanciation sociale.

Article 4 – Les réceptions après funérailles sont autorisées, uniquement en terrasse, selon les conditions prévues dans les établissements du secteur Horeca.

L’arrêté de police complet >> ICI <<

Allocation pour l’aide aux personnes âgées (APA)

Depuis le 1er janvier 2021, vous ne pouvez plus vous adresser au SPF Sécurité sociale pour introduire une demande d’APA. Vous pouvez vous adresser à votre mutualité pour faire la demande. Vous trouverez plus d’informations sur le site de l’AVIQ, qui coordonne les mutualités à ce sujet.

Désormais, ce sont également les mutualités qui (sous contrôle de l’AVIQ) se chargeront de la reconnaissance médicale de votre handicap pour votre demande d’aide aux personnes âgées.

Vous avez introduit une demande avant le 1er janvier 2021 qui n’a pas encore été traitée ? Le SPF reste responsable des demandes déjà soumises et non encore clôturées.

Avez-vous déjà eu une APA? Vous n’avez rien à faire pour transférer votre dossier existant. Votre caisse d’assurance maladie prendra en charge le traitement de votre dossier et le versement de votre allocation. Le montant de votre indemnité ne change pas.

Journée mondiale des abeilles – 20 mai

Nous dépendons tous de la survie des abeilles

Les abeilles et les autres pollinisateurs, tels que les papillons, les chauves-souris et les colibris, sont de plus en plus menacés par les activités humaines.

La pollinisation est cependant un processus fondamental pour la survie des écosystèmes car de lui dépendent la reproduction de près de 90% des plantes sauvages à fleurs du monde, ainsi que 75% des cultures vivirères et 35% des terres agricoles à l’échelle de la planète. Non seulement les pollinisateurs contribuent directement à la sécurité alimentaire, mais ils constituent aussi des leviers essentiels pour la conservation de la biodiversité.

Pour attirer l’attention de tous sur le rôle clé que jouent les pollinisateurs, sur les menaces auxquelles ils sont confrontés et sur leur importante contribution au développement durable, les Nations Unies ont décidé de désigner le 20 mai Journée mondiale des abeilles.

Cette journée veut aussi encourager un renforcement des mesures de protection des abeilles et des autres pollinisateurs, qui peuvent contribuer de manière significative à la résolution des problèmes liés à l’approvisionnement alimentaire mondial, notamment dans les pays en développement.

Nous dépendons tous des pollinisateurs et il est donc crucial de surveiller leur déclin et de freiner la perte de la biodiversité et la dégradation des écosystèmes.

Il faut agir maintenant

Les pollinisateurs ont un taux d’extinction qui est aujourd’hui de 100 à 1 000 fois plus élevé que la normale. Environ 35% des pollinisateurs invertébrés, en particulier les abeilles et les papillons, et environ 17% des pollinisateurs vertébrés, tels que les chauves-souris, sont aujourd’hui menacés d’extinction.

Si cette tendance se poursuit, les cultures nutritives telles que les fruits, les noix et autres légumes se verront remplacer par des cultures vivrières comme le riz, le maïs et les pommes de terre, favorisant ainsi des régimes alimentaires déséquilibrés.

Les pratiques agricoles intensives, la monoculture, le recours aux pesticides, les effets des changements climatiques (comme la hausse des températures, la multiplication des sécheresses, les inondations et les perturbations des saisons de floraison), le changement d’affectation des terres figurent parmi les principales menaces pesant sur les abeilles et les autres pollinisateurs.

La Convention sur la diversité biologique, reconnaissant comme urgente la nécessité de traiter la question du déclin de leur diversité à l’échelle mondiale, a lancé en 2000 une Initiative internationale pour la conservation et l’utilisation durable des pollinisateurs. Celle-ci a comme objectif de promouvoir une action coordonnée à l’échelle mondiale pour surveiller le déclin des pollinisateurs, traiter de l’absence d’informations taxonomiques sur les pollinisateurs, évaluer l’incidence économique du déclin des services de pollinisation et enfin promouvoir la conservation, le rétablissement et l’utilisation durable de la diversité des pollinisateurs dans l’agriculture et les écosystèmes connexes.

En plus de coordonner l’Initiative internationale sur les pollinisateurs, la FAO fournit également une assistance technique aux pays en ce qui concerne l’apiculture, sur des questions allant de l’élevage de reines à l’insémination artificielle en passant par des solutions durables pour la production de miel et la commercialisation des exportations.

Que pouvons-nous faire ?

En tant qu’individus :

  • garder un ensemble diversifié de plantes dans votre jardin ou votre balcon, encore mieux si elles fleurissent à des moments différents ;
  • préférer l’achat de miel brut issu de vos apiculteurs locaux ;
  • acheter des produits issus de pratiques agricoles durables ;
  • éviter d’utiliser des pesticides, des fongicides ou des herbicides dans nos jardins ;
  • protéger les nids sauvages quand possible ;
  • parrainer une ruche ;
  • laisser dehors un récipient propre avec de l’eau, indispensable pour les abeilles après une journée passée à bourdonner ;
  • soutenir la reforestation ;
  • sensibiliser les gens autour de nous en partageant ces informations au sein de nos communautés et nos réseaux ! Le déclin des abeilles nous affectent tous.

En tant qu’apiculteurs ou agriculteurs :

  • éviter l’emploi de pesticides toxiques pour les pollinisateurs et les écosystèmes, comme le paillage ;
  • diversifier nos cultures autant que possible ;
  • planter des haies.

>> Plus d’informations <<

 

 

Arbres scolytés : la procédure à suivre


Vos épicéas sont touchés par les scolytes : comment réagir ?

Les épicéas wallons subissent actuellement des attaques d’insectes ravageurs, les scolytes, provoquant la mort de l’arbre à court terme et la dégradation de son bois à moyen terme.

Différents outils sont mis en place pour accompagner les propriétaires privés dans la gestion des bois scolytés :

  • Une ligne téléphonique :  084 46 03 55

Une équipe de spécialistes de l’Office économique wallon du Bois conseille et oriente vers les structures et professionnels  les plus adéquats : Cellule d’appui à la petite forêt privée, Société Royale Forestière de Belgique

Il reprend les coordonnées de professionnels (techniciens et experts forestiers indépendants, exploitants forestiers, etc.), ainsi qu’une série de documents de référence permettant de mieux connaître l’insecte, de détecter les attaques et de prendre les mesures qui s’imposent.  Une base de données, baptisée Scolytes NET’work, est également accessible depuis le site. Elle permet de visualiser toutes les exploitations de bois scolytés en cours ou à venir dans une région géographique donnée, afin de faciliter le partage d’informations entre propriétaires, gestionnaires et exploitants forestiers. Des exploitations groupées de petits foyers d’arbres scolytés sont coordonnées par la Cellule d’appui à la petite forêt privée, dans certaines communes (Gedinne, Bièvre, Lierneux, Houffalize…).

 

Les scolytes se sont également attaqués aux épicéas présents dans les fonds de jardins et dans les milieux agricoles. L’exploitation de ces arbres est nécessaire, notamment pour se prémunir d’éventuels dégâts qui seraient causés par la chute de branches ou d’arbres morts.

Deux conseils sont donnés aux propriétaires concernés :

  1. S’assurer auprès de l’Administration communale qu’aucune autorisation d’abattage n’est nécessaire : urbanisme@aubange.be063/43 03 10 ;
  2. Demander des devis auprès d’entreprises de parcs et jardins (professionnels assurés). Si l’opération est trop coûteuse pour le propriétaire, une solution moins onéreuse consiste à ne faire réaliser que l’abattage et l’écorçage, sans l’évacuation des branches et du tronc.

 

 

Question : reprise des activités des clubs des jeunes via des terrasses?

Question du Cabinet du Gouverneur de la Province de Luxembourg :

A la lecture de l’Arrêté Ministériel du 07 mai 2021 modifiant l’Arrêté Ministériel du 28 octobre 2020 portant des mesures d’urgence pour limiter la propagation du Covid-19 et compte tenu du protocole Horeca du 03 mai 2021 ainsi que de la version du 08 mai 2021 du Guide pour l’Ouverture des Commerces, aucune information ne permet de définir avec exactitude la notion «d’établissement Horeca».

Dès lors, peut-on considérer un club de jeunes comme une structure relevant de cette catégorie, permettant le cas échéant la reprise des activités de ces associations via terrasses et respect des mesures « cafés » du protocole Horeca du 03 mai 2021 ?

Réponse du Cabinet du vice-Premier Ministre, ministre de l’Économie et du Travail :

La notification du Codeco du 23 avril dit que : « Le Comité rappelle que les entreprises professionnelles de catering/traiteur peuvent offrir des services de restauration et/ou de café à l’extérieur aux mêmes conditions que celles applicables aux terrasses ouvertes des établissements relevant du secteur horeca et autres établissements de restauration et débits de boissons ».

Selon la notification sont donc autorisés à avoir une activité en terrasse, les établissements qui relèvent du secteur HORECA, les établissements de restauration et les débits de boissons. Il faut donc que les clubs de jeunes exploitent la terrasse en qualité d’entreprise Horeca ou via un établissement de restauration et/ou un débit de boisson qui a reçu une autorisation communale comme une concession. Il ne peut donc pas s’agir d’exploiter une terrasse sauvage par des clubs de jeune qui d’ordinaire n’en ont pas et ne sont pas autorisés par les autorités compétences.

Nous rappelons également la définition de la terrasse qui est un espace situé à l’extérieur de l’espace clos d’un établissement horeca, où l’air libre peut circuler librement et où des sièges sont prévus et où l’on peut déguster des boissons ou des aliments pour consommation immédiate. La terrasse doit être ouverte sur au moins un côté dans son entièreté, quelles que soient les conditions météorologiques et doit assurer une ventilation suffisante. En outre, le côté ouvert ne peut pas être partiellement fermé, par exemple par un brise-vent ou un store. Les terrasses dans un espace public fermé (comme un centre commercial) ne tombent pas sous la définition d’une terrasse ouverte.

Matchs sportifs amicaux non professionnels

Le Centre de Crise National (NCCN) a été interpellé par plusieurs Gouverneurs de différentes provinces afin de savoir si les matchs sportifs amicaux non-professionnels sont actuellement autorisés.

Après concertation avec le cabinet Intérieur, voici les éléments de réponse communiqués :

Les compétitions sportives non-professionnelles sont à ce stade encore interdites (article 15§6 al2). L’interdiction de compétitions sportives non-professionnelles est une disposition particulière qui a priorité sur la règle générale des activités en contexte organisé. Un match amical non-professionnel ne peut donc à ce stade pas être organisé qu’il ait lieu au sein d’un même club sportif ou entre des clubs sportifs différents.

Merci pour votre compréhension.

>> Plus d’informations <<

Campagne de sensibilisation pour la sécurité routière – Ensemble, partageons mieux la route


Depuis la crise sanitaire, la mobilité a changé : le trafic n’est plus aussi dense et les usagers de la route se sont diversifiés au profit des deux roues et des piétons.
Cette nouvelle cohabitation n’est pas toujours évidente, et requiert une vigilance accrue, de tous, pour des trajets plus sûrs.
C’est le moment pour l’AWSR de le rappeler, alors que les jours fériés et perspectives de météo plus clémente incitent à la sortie.

Depuis 2020, une diversification des usagers

La crise sanitaire a provoqué de nouvelles habitudes de mobilité de la part des Wallons. En témoignent notamment les ruptures de stock de vélos et l’augmentation des ventes de motos. Il n’y a jamais eu autant de motos, vélos et piétons en circulation qu’aujourd’hui.

Or, partager l’espace de circulation entre les différents types d’usagers ne s’avère pas chose aisée et reste lourd de conséquences : sur l’ensemble des accidents corporels en Wallonie, deux accidents sur trois sont des collisions entre plusieurs usagers, et ils représentent surtout un accident mortel sur deux.
L’enjeu est important, c’est le moment de s’en préoccuper et d’y sensibiliser tous les acteurs.

S’ouvrir à la réalité de l’autre

Au-delà de la connaissance du code la route, et de la connaissance de la réalité pratique des autres types d’usagers, vous ouvrir aux autres est clé pour un meilleur partage de la route et cela bénéficie à la sécurité de tous.

Des gestes simples

La communication entre usagers est souvent sous-estimée, un simple geste de la main peut parfois tout changer. Que cela soit sur l’autoroute, dans les ronds points ou aux feux, il existe des gestes simples que vous pouvez effectuer pour déjà avoir un impact sur votre sécurité … :

  • À pied, évitez de traverser sans regarder
  • À vélo, ne passez pas lorsque le feu est rouge
  • Pensez à bien indiquer vos changements de direction peu importe votre mode de déplacement

Quelle attitude adopter ?

Faire preuve de civisme et de courtoisie. Si tout le monde y met du sien et prend en compte les autres modes de déplacement, les interactions entre usagers de la route se passent au mieux et bon nombre d’accidents sont ainsi évités.

Lors d’une mauvaise interaction entre usagers, nous avons tendance à chercher un fautif alors qu’il n’y en a pas nécessairement.

Pour en savoir plus, cliquez ici.

 

 

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