L'actualité de l'Administration Communale d'Aubange

Catégorie : social

41e Opération des œufs de l’ASBL “Les Amis de la Clairière-Arlon”

L’ASBL “Les Amis de la Clairière-Arlon”, dont l’unique but social est d’apporter son soutien à “La Clairière-Arlon”, association pour personnes handicapées, organise sa traditionnelle Opération des œufs, avec l’accord du Collège Provincial.

Cette 41e Opération des œufs consiste, comme chaque année, en une vente massive d’œufs de Pâques au prix de 6€ la boîte de 6. Elle se déroulera du 22 mars au 8 avril 2023 sur tout le territoire des communes de la Province de Luxembourg.

 

 

La Fête des Voisins

La Fête des Voisins (également appelée Immeubles en fête), événement ayant généralement lieu le dernier vendredi de mai, a été mise en place dans le but de lutter contre l’individualisme et la solitude dans les grandes villes. Autour d’un repas ou d’un buffet improvisé, les voisins peuvent lier connaissances et partager un moment de convivialité.

Le principe est simple : chaque année, les habitants d’un immeuble, d’une rue, d’un quartier s’invitent autour d’une soirée/après-midi entre voisins.

Historique
En 1999, Anatase Périfan et ses amis créent l’association “Immeuble en fête – La fête des voisins” pour lutter contre l’isolement, le repli sur soi et pour favoriser l’échange, la solidarité, le “mieux vivre ensemble”. En 2003, la première “Fête des voisins” est lancée à Bruxelles. Le succès est immédiat : plus de 10.000 Bruxellois participent à l’opération. En 2004, l’association belge lance au niveau national la “Fête des voisins” grâce au soutien de nombreux intervenants qui parrainent l’opération. Cette première édition nationale mobilise plus de 3.000.000 de personnes en Belgique et en Europe. Au fil des années, les citoyens montrent de plus en plus d’enthousiasme pour cette fête.

Cette année, la Fête des Voisins a lieu le vendredi 26 mai 2023 et célèbre ses 20 ans d’existence en Belgique !

Si vous souhaitez organiser une Fête des Voisins, veuillez noter qu’il y a lieu de compléter un formulaire de sécurité par l’organisateur et le transmettre à l’autorité compétente 60 jours avant l’évènement, soit au 22 rue Haute à 6791 ATHUS (Hôtel de Ville), soit par mail : manifestations@aubange.be

Vous pouvez écrire à cette même adresse pour obtenir le formulaire.

La médiation dans le cadre des Sanctions Administratives Communales (SAC) : C’est quoi ?

On vous reproche d’avoir commis une infraction au règlement général de police de la commune ou à une de ses ordonnances, et le Fonctionnaire sanctionnateur provincial vous propose une médiation afin d’éviter, en cas de réussite de la médiation, de payer une amende administrative de 350€ maximum (ou de 200.000€ maximum en cas d’infraction environnementale) ? Voici quelques informations qui vous aideront à comprendre la procédure de médiation et ses avantages.

Dans quel contexte la médiation SAC prend place ?

Si une infraction est commise aux règlements et ordonnances de la commune, pour des faits par exemple d’abandon de déchets, divagation d’animaux, défaut d’autorisation communale…, le contrevenant peut faire l’objet d’une sanction administrative communale (SAC). L’agent de police ou l’agent constatateur communal doit alors, pour ce faire, constater cette infraction. Il rédige par la suite un PV/constat qu’il transmet au Fonctionnaire sanctionnateur provincial. Ce dernier, qui n’est donc pas un agent communal, peut prononcer une amende administrative afin de sanctionner ces faits mais peut également « saisir » le médiateur afin que soit réalisée, avec le contrevenant et la partie lésée, une procédure de médiation. Cette procédure de médiation est facultative pour les majeurs mais est toujours proposée aux contrevenants mineurs de 14 à 18 ans. Le médiateur ne peut donc pas s’autosaisir d’un dossier. Une infraction aux règlements et ordonnances communales doit nécessairement être constatée par la police ou par l’agent constatateur pour que le médiateur soit compétent.

Quel est le but de la médiation SAC ?

Dans le cadre des sanctions administratives communales, la médiation est dite « réparatrice », c’est-à-dire qu’elle a pour objectif de permettre à l’auteur de l’infraction « de réparer ou d’indemniser le dommage causé » envers la partie lésée (personne physique ou collectivité/commune) ou encore « d’apaiser le conflit ». Le but de la médiation est également préventif à travers l’évitement d’une potentielle récidive.

Quel est le rôle du médiateur ?

Le médiateur est chargé de rencontrer les parties, c’est-à-dire l’auteur et la partie lésée, séparément et/ou en commun. L’objectif de ces rencontres est de connaître les impressions et le vécu de chacun par rapport à l’acte commis et les moyens d’y remédier.

Le rôle du médiateur est donc d’aider les parties à communiquer, à exprimer leurs sentiments, leurs opinions sur les faits… et de donner la possibilité de trouver un accord satisfaisant pour tous de nature à régler le conflit qui les oppose. La médiation permet ainsi aux parties de s’approprier la gestion de leur conflit.

Quel type d’accord peut intervenir entre les parties ?

Ce sont les parties qui définissent ensemble le contenu de cet accord. Il peut s’agir d’une indemnisation, à savoir le paiement d’une somme d’argent en vue du dédommagement du préjudice causé, d’une réparation en nature du dommage ou d’une autre solution destinée à « apaiser » le conflit. Ainsi, l’accord survenu entre les parties peut revêtir des formes diverses : présentation d’excuses écrites ou orales, remboursement des frais engendrés par l’infraction, réparation directe du dommage causé, participation à une formation… Il s’agit avant tout d’une solution négociée et non imposée aux parties.

Que peut-on dire du cadre de la médiation ?

La médiation est un processus volontaire : elle nécessite donc une volonté de la part des deux parties d’y participer et de la mener à bien. « Volontaire » signifie également que les parties peuvent, à tout moment, décider d’abandonner la procédure.

Le médiateur est neutre et indépendant : il n’est pas là pour prendre position en faveur de l’une ou l’autre partie, mais son rôle est de faciliter et équilibrer les échanges, fixer un cadre et apporter une aide à la résolution du conflit.

Par ailleurs, il est tenu au secret professionnel : il offre donc aux parties un lieu de parole en toute liberté.

Que se passe-t-il une fois la médiation terminée ?

Le médiateur rédige un rapport au Fonctionnaire sanctionnateur provincial qui l’a saisi quant au bon déroulement ou non de la procédure de médiation. Ce rapport permettra au Fonctionnaire sanctionnateur provincial de prendre sa décision d’infliger ou non une amende administrative au contrevenant en fonction de la réussite ou non de la médiation.

Le service de médiation SAC :

Le service de médiation SAC est implanté dans les locaux de l’administration communale d’Aubange depuis 2008. Compétent pour la commune d’Aubange mais aussi pour 13 autres communes de l’arrondissement judiciaire du Luxembourg – division Arlon, le service organise chaque année en moyenne une septantaine de médiations, avec un taux de réussite de plus de 90%. Composé d’un seul médiateur à temps plein, ce service participe, grâce à son travail de sensibilisation, à la cohésion sociale au sein de la commune et favorise le « vivre ensemble ».

Coordonnées du service :
Valentin GOIRE
Rue Haute, 22
6791 ATHUS
Tel : 063/38.12.73
mediation@aubange.be

Campagne de sensibilisation concernant les mineurs victimes de violences sexuelles de l’équipe du tchat “maintenant j’en parle”

L’équipe du tchat « maintenant j’en parle » a le plaisir de vous présenter sa nouvelle campagne de sensibilisation concernant les mineurs victimes de violences sexuelles.

Forts de leurs expériences sur le tchat, l’équipe a créé des capsules vidéo partant du vécu et des difficultés des jeunes concernés.

Ces vidéos sont organisées par thématique, et la première que nous vous partageons aujourd’hui est une vidéo qui présente le tchat et les missions de l’équipe.

Voici le lien YouTube : https://youtu.be/K1GbJhAsYJA

Équipe mobile de la Fédération des Maisons Médicales avec le soutien de la Wallonie

Dans le cadre de l’afflux de réfugiés en provenance d’Ukraine, la Fédération des Maisons Médicales avec le soutien de la Wallonie a mis en place une équipe mobile ayant pour mission de renforcer la promotion et la prévention de la santé ainsi que l’accès aux soins des réfugié·e·s ukrainien·ne·s.

Sur demande, l’équipe mobile se rend sur le lieu de vie à la rencontre des réfugiés ukrainiens (qu’ils soient hébergés par un citoyen wallon, dans un logement individuel ou dans hébergement collectif) afin de déceler et répondre à leurs besoins bio-psycho-sociaux par de l’écoute, de l’information, de la sensibilisation et de l’orientation.

L’équipe mobile propose des accompagnements individuels ainsi que des séances d’information collectives avec les services compétents (en ukrainien ou russe).

Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la brochure de présentation de l’équipe mobile et de leurs actions.
Cette brochure est destinée à un large public et notamment des professionnel·le·s de la santé et de l’action sociale.
Afin de faire connaître ce service et de toucher les publics concernés, n’hésitez pas à imprimer et à diffuser largement l’information.

Pour de plus amples informations :

Pour demander un accompagnement ou davantage d’informations : equipes.mobiles.ukraine@fmm.be

Vous pouvez également diriger les réfugiés ukrainiens vers le guide pratique du SPW, disponible en ukrainien sur https://www.wallonie.be/fr/ukraine/foire-aux-questions, où ils trouveront les coordonnées de la permanence téléphonique mise en place par l’équipe mobile chaque vendredi. Sur ce même lien, les pouvoirs locaux et services d’aide trouveront également un guide pratique qui leur est spécifiquement dédié.

Revue des infos provinciales

Depuis plus d’un an, la Province propose à chaque changement de saison sa « Revue des infos provinciales » disponible sur le web.

Parution brochure – Vie en séjour irrégulier

Le CRILUX souhaite vous informer de la parution d’un nouveau support d’information sur la vie en séjour irrégulier.

« La première chose qu’on me demande, c’est la carte »

Cette brochure est un mini-guide, qui s’adresse tant au grand public (on peut tous-tes être amené-es à rencontrer une personne sans-papiers) qu’aux personnes elles-mêmes actuellement sans titre de séjour.

On y explique à quoi peut ressembler la vie quand on est en séjour irrégulier, les droits minimaux accordés et vers qui se tourner si on a besoin d’aide pour les faire respecter.

2022 – Brochure – La première chose qu’on me demande, c’est la carte – i…

1718 Urgence sociale

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