L'actualité de l'Administration Communale d'Aubange

Catégorie : horsterritoire Page 42 of 43

Adaptation du réseau de boîtes aux lettres rouges

BPOST

Au cours des cinq dernières années, le volume des lettres dans les boîtes aux lettres rouges a diminué de moitié. Le maintien de l’entièreté du réseau n’est plus justifié.

Les boîtes aux lettres les moins utilisées dans la commune seront donc supprimées tout en garantissant une accessibilité suffisante.

Voici le réseau bpost dans la Ville d’Aubange :

Bureau de poste
ATHUS, rue Haute n°29

Point poste
AUBANGE, Spar Retail, Avenue de la Gare n°35
HALANZY, Ad Delhaize, rue de la Gaume n°51

Point Kariboo!
AUBANGE, Librairie Peignois, rue du Village n°8

Boîtes rouges qui restent
AIX-SUR-CLOIE, rue Claie n°38
ATHUS, rue de Guerlange n°62
ATHUS, rue des Usines n°59
ATHUS, rue du Rond-Point n°2
ATHUS, rue Haute n°29
ATHUS, rue Jean Jaurès n°51
ATHUS, rue Saint Martin n°5
AUBANGE, rue du Village n°3
BATTINCOURT, rue de la Belle Vallée n°7

HALANZY, rue de la Barrière n°36
HALANZY, rue du Chalet n°76
HALANZY, rue Jules Bary n°1
RACHECOURT, la Strale n°263
RACHECOURT, rue la Cour n°31

Boîtes rouges qui seront enlevées
ATHUS, Grand Rue n°35
ATHUS, rue de la Montagne n°1
AUBANGE, rue de Messancy n°73
AUBANGE rue du Village n°78
HALANZY, rue du Fossé n°23

 

Taxi à moitié prix avec les chèques BackSafe

Selon une étude de l’AWSR, seul un tiers des jeunes Wallons choisissent systématiquement un BOB avant une sortie et 1 jeune sur 14 ne le fait jamais ! A la veille des nombreux événements de fin d’année (fêtes patronales, Saint-Nicolas, réveillon…), l’AWSR rappelle qu’en Wallonie, les jeunes âgés entre 16 et 30 ans peuvent bénéficier d’une réduction de 50% sur leur course en taxi en payant avec des chèques BackSafe !

Minimum 1 accident corporel sur 6 est lié à l’alcool

En 2017 en Wallonie, 15% des conducteurs testés après un accident corporel (1 sur 6) étaient positifs à l’alcool. Ce pourcentage augmente même à plus de 17% si on s’intéresse uniquement à la tranche d’âge des 18-30 ans ! Ces pourcentages sont sous-estimés étant donné que tous les conducteurs ne sont pas testés et que les tests ne sont pas spécifiquement réalisés lorsque la probabilité que les conducteurs rentrent d’une soirée arrosée est plus importante. Les nuits de week-end, par exemple, 1 conducteur testé sur 2 est positif à l’alcool !

Prévoir un BOB, pas toujours automatique

Selon une récente étude de l’AWSR, seuls 32% des jeunes âgés entre 18 et 30 ans décident systématiquement qui prendra le volant pour rentrer avant une sortie. Il est par ailleurs inquiétant de constater qu’un jeune conducteur sur 14 (7%) ne prévoit jamais un BOB à l’avance !

Boire ou conduire… Certains ne choisissent pas !

Parmi les jeunes wallons interrogés par l’AWSR : 58% ne boivent pas d’alcool quand ils sortent s’ils doivent conduire et 25% déclarent limiter leur consommation d’alcool à la limite légale. Cependant, 17% des jeunes Wallons déclarent boire plus que de raison alors qu’ils doivent rentrer en voiture et 3% ne se fixent aucune limite !

Peur du contrôle ?

La majorité des jeunes Wallons (âgés entre 18 et 30 ans), considèrent que le risque de devoir se soumettre à un contrôle d’alcoolémie est relativement faible. 47% estiment en effet qu’ils n’ont qu’une très petite chance de devoir souffler et 24% une petite chance.

Un conducteur qui conduit sous l’influence d’alcool risque un retrait de permis, une amende de minimum 179 euros qui peut aller jusqu’à 16.000 euros et une déchéance du droit de conduire selon la gravité de l’infraction et les poursuites qui sont décidées au niveau du Parquet. Lors de la campagne BOB de l’hiver dernier, près de 1.000 conducteurs wallons s’étaient vu retirer leur permis de conduire suite à un contrôle d’alcoolémie.

Les chèques taxi BackSafe

Pour éviter ces comportements risqués de la part des jeunes conducteurs, l’AWSR leur « offre » un BOB à moitié prix avec les chèques taxi BackSafe ! Ces chèques peuvent être utilisés par les jeunes Wallons (âgés entre 16 et 30 ans) pour rentrer en taxi de jeudi à dimanche entre 23h et 6h, au départ de la Wallonie. 10 villes participent au projet pilote : Spa, Waterloo, Louvain-la-Neuve, Liège, Charleroi, Mons, Verviers, Namur, Tournai et Arlon.

Le principe est simple : un chèque vaut 5 euros mais ne coûte que 2,50 euros à son utilisateur. Plusieurs chèques peuvent être utilisés pour payer une course et le taxi peut être partagé à plusieurs. 25 compagnies de taxi sont partenaires du projet. Les chèques peuvent être commandés via le site de l’AWSR.

Un jeune sur 3 trouve le taxi trop cher

Selon une étude de l’AWSR, un jeune sur 3 ne prend pas le taxi car il juge le prix trop cher. Le taxi se profile pourtant comme une alternative intéressante pour rentrer en sécurité. Principalement parce qu’il convient autant aux fêtards qui ont pensé à leur retour à l’avance qu’à ceux qui ont « dérapé » pendant la soirée et qui ne peuvent plus prendre le volant pour rentrer. Mais également parce que les taxis circulent pendant la nuit et ont des horaires très flexibles.

Réveillon du Nouvel An

Les chèques taxi peuvent uniquement être utilisés les nuits de jeudi à samedi. Cependant, une exception est prévue pour le réveillon de la Saint-Sylvestre. Il sera donc possible de payer une course en taxi avec les chèques BackSafe le 31 décembre à partir de 23h jusqu’au 1er janvier 6h.

Projet pilote

Les chèques taxi BackSafe ont été lancés dans le cadre d‘un projet-pilote mené par l’AWSR, en collaboration avec le Groupement national des entreprises de taxis (GTL). 10.000 chèques ont été mis en vente au mois de juin dernier. A ce jour, l’AWSR en a vendu plus de 3.500.

Une évaluation du projet sera réalisée en 2019. Si elle s’avère positive, les chèques taxi BackSafe pourraient être disponibles de manière permanente.

Pour Carlo DI ANTONIO, le Ministre wallon de la Sécurité routière : les chèques-taxi Backsafe sont une solution concrète pour rentrer sain et sauf ! En utilisant ces chèques, les jeunes ne paient que 50% du prix de la course. L’autre partie est payée par la Wallonie. Ce projet-pilote complète un dispositif plus large que la Wallonie met actuellement en place pour réduire le nombre d’accidents impliquant des jeunes conducteurs ayant bu et/ou consommé d’autres substances. Le label BackSafe qui est déployé dans les évènements festifs en est un autre exemple. La prévention et la répression en matière de conduite sous influence sont indispensables pour que la fête ne tourne plus court pour les adultes de demain et leurs familles !

Offre de formation Forem : auxiliaire de ménage dans le cadre des titres services

Critères d’accès :

  • Etre inscrit comme demandeur d’emploi
  • Savoir lire et comprendre les consignes simples

Contenu :

  • Statut de l’auxiliaire de ménage
  • Techniques de lessivage, repassage, nettoyage
  • Attitude au travail et faculté d’adaptation

Sélection : 14 décembre 2018
Formation : 7 janvier au 8 mars 2019 à Libramont
Horaire : 100 heures à raison de 2 jours/semaine

Renseignements et inscription :
 
Le Forem Luxembourg
Service Clientèle
061/28.02.60

Seconde bourse aux jouets

Vu le succès de la journée du 17 novembre dernier, mais vu également la quantité de jeux encore à disposition, la Maison Croix-Rouge Aubange-Messancy organise une seconde bourse aux jouets le 1er décembre de 10h à 12h à Bellevue (39 avenue de la Libération, Athus). Si les jouets sont de seconde main, ils ont tous été triés et sont en excellent état.

Le Centre culturel d’Athus : le Petit Paysan

En partenariat avec l’ACRF-Femmes en milieu rural.

Sa. 24 novembre – 20h15

Pierre, la trentaine, est éleveur de vaches laitières. Sa vie s’organise autour de sa ferme, sa sœur vétérinaire et ses parents dont il a repris l’exploitation. Alors que les premiers cas d’une épidémie se déclarent en France, Pierre découvre que l’une de ses bêtes est infectée. Il ne peut se résoudre à perdre ses vaches. Il n’a rien d’autre et ira jusqu’au bout pour les sauver.

> À l’issue de la projection nous vous proposons un petit drink sous forme d’auberge espagnole (chacun apporte ce qu’il veut et si c’est fait maison, c’est encore mieux !)

À découvrir également lors de cette soirée une exposition du Collectif Sam’Crock sur le thème de l’élevage.

https://youtu.be/KbEqutLMkxY

Sam’Crock
samcrock.blogspot.com

Drame français d’Hubert Charuel – 2017
Avec Swann Arlaud, Sara Giraudeau, Marc Barbé, Bouli Lanners…

Entrée: 4€ / Étudiants: 2€ / Art. 27: 1,25€

https://www.ccathus.be/activites.php#9

Accessibilité : évaluation

L’ensemble des opérateurs électoraux s’est mobilisé pour rendre les élections locales les plus accessibles possibles. Vous souhaitez nous faire parvenir vos impressions, vos constats, vos remarques ? Remplissez le formulaire de satisfaction relative à l’accessibilité des bureaux électoraux.

 

Instructions pour l’électeur

Le droit de vote

Les électeurs sont admis au vote de 8 à 13 heures. Les électeurs se présentent à l’entrée du local de vote munis de leur lettre de convocation et de leur carte d’identité. Toutefois, tout électeur se trouvant à 13 heures dans le local de vote ou la salle d’attente est encore admis à voter.

L’électeur belge est admis à voter pour élire les conseillers communaux et les conseillers provinciaux.

Les ressortissants des autres Etats membres de l’Union européenne et les ressortissants d’Etats tiers bénéficient du droit de vote exclusivement pour les élections communales dès lors qu’ils sont munis de leur carte d’identité et de leur lettre de convocation mentionnant respectivement la lettre «C» ou «E».

L’électeur qui se présente avec un couvre-chef pour un motif religieux ou médical indéniable doit veiller, comme sur sa carte d’identité, à ce que son visage soit entièrement dégagé à savoir: le front, les joues, les yeux, le nez et le menton.

L‘accompagnement

L’électeur qui le souhaite peut introduire une demande pour bénéficier de l’assistance d’un proche le jour des élections jusque dans l’isoloir. L’électeur concerné choisit son accompagnant; celui-ci doit toutefois être lui-même électeur.

Un candidat peut assumer la fonction d’accompagnant auprès de son conjoint ou cohabitant légal, ou d’un parent ou allié ayant fixé sa résidence principale à son domicile, à condition d’être lui-même électeur. Un candidat peut de même assumer cette fonction auprès d’un parent ou allié n’ayant pas fixé sa résidence principale à son domicile pour autant que la parenté soit établie jusqu’au troisième degré.

La demande doit être introduite auprès de l’administration communale au plus tard la veille du jour du scrutin. La déclaration est rédigée sur le formulaire mentionné à l’annexe 12 et qui est délivré gratuitement à l’administration communale. L’électeur le présente au président du bureau de vote avec sa convocation. Le président du bureau mentionne sur la convocation de l’accompagnant «a exercé le rôle d’accompagnant». La demande doit être accompagnée de tout document prouvant la nécessité d’être accompagné.

Si, pour des raisons diverses, un électeur fragilisé n’a pas pu effectuer cette demande, le président du bureau de vote appréciera la situation et autorisera l’électeur à être accompagné ou l’accompagnera lui-même dans l’isoloir.

Le déroulement du vote

Pour chaque scrutin auquel il est convoqué, l’électeur reçoit un bulletin. Le bulletin est blanc ou vert respectivement pour les élections communales ou provinciales. L’électeur se rend directement dans un isoloir et il ne peut y rester que pendant le temps nécessaire pour émettre son vote. L’électeur formule son vote. Les listes de candidats sont classées sur le bulletin conformément à leur numéro d’ordre et à la suite les unes des autres.

Le vote valable et non-valable

A l’aide du crayon électoral, il appose une marque dans la case de son choix:

  • soit il vote pour une liste en coloriant la case de tête située en-dessous du nom de la liste;
  • soit il vote pour un ou plusieurs candidats d’une même liste en rougissant la case à côté du nom du/des candidat(s) de son choix. Si toutes les cases sont rougies, le vote sera considéré comme nominatif et les voix iront vers tous les candidats;
  • § soit il vote pour une liste et un ou plusieurs candidats de cette liste en rougissant la case de tête située sous le nom de la liste de son choix et des cases à côté du nom des candidats de son choix. Attention, dans ce cas, le vote pour la liste ne compte plus. Seuls les votes de préférence en faveur des candidats sont pris en compte.

L’électeur peut émettre autant de suffrages qu’il y a de mandats à conférer.

La marque du vote, même imparfaitement tracée, exprime valablement le vote, à moins que l’intention de rendre le bulletin de vote reconnaissable ne soit manifeste.

Si, par inadvertance, l’électeur détériore le bulletin qui lui a été remis, il peut en demander un autre au président, en lui rendant le premier, qui est aussitôt annulé. L’électeur sort de l’isoloir et montre au président le bulletin plié en quatre à angle droit, avec le timbre à l’extérieur. Il dépose le bulletin vert dans l’urne provinciale et le blanc dans l’urne communale. La lettre de convocation lui est restituée après que le président ou un assesseur délégué par lui l’a estampillée. Le président lui restitue également sa carte d’identité.

Sont nuls:

  • tous les bulletins autres que ceux dont l’usage est permis par la loi;
  •  ceux qui contiennent plus d’un vote de liste ou qui contiennent des suffrages pour des candidats sur des listes différentes;
  •  ceux dans lesquels l’électeur a marqué à la fois un vote en tête de liste et à côté du nom d’un ou de plusieurs candidats d’une autre liste;
  •  ceux dont les formes et dimensions auraient été altérées, qui contiendraient à l’intérieur un papier ou un objet quelconque, ou dont l’auteur pourrait être rendu reconnaissable par un signe, une rature, ou une marque non autorisée par le Code de la démocratie locale et de la décentralisation;
  • ceux repris par le président à l’électeur qui a détérioré son bulletin par inadvertance et qui en a reçu un autre pour exprimer valablement son vote;
  • ceux repris par le président lorsque l’électeur a déplié son bulletin en sortant de l’isoloir de manière à faire connaître le vote qu’il a émis. En ce cas, le président lui reprend le bulletin déplié, qui est aussitôt annulé, et oblige l’électeur à recommencer son vote.

Le président inscrit sur les bulletins repris en exécution du 5) et du 6) la mention «Bulletin repris», et y ajoute son paraphe.

Le service population reste à votre disposition pour toute information supplémentaire : rue Haute 22 à 6791 Athus (y compris ce samedi matin de 9h à 11h), 063/38 12 60, population@aubange.be.  

Liste des candidats et plus d’instructions pour l’électeur

La collecte des jouets d’Idelux

Samedi 20 octobre : collecte de jouets

Grâce à vos dons, la collecte de jouets dans les recyparcs est chaque année d’une aide précieuse pour Saint-Nicolas et de nombreuses associations de la province.

Quand ? Le samedi 20 octobre 2018.
Où ? Dans tous les recyparcs de Wallonie.
Quoi ? Des jouets complets, en bon état et propres (pas de jouets électroniques, à piles, ni de peluches).
Pourquoi ? Pour faire des heureux et préserver l’environnement.
Pour qui ? Les jouets en bon état sont repris par des Maisons Croix-Rouge, des CPAS, des accueils extrascolaires, des maisons d’enfants, …

Peste porcine africaine : explication de la décision de Monsieur le Ministre Denis DUCARME d’abattre préventivement les porcs de la zone infectée

Ces dernières semaines, plusieurs arrêtés ministériels ont été approuvés par Messieurs les Ministres Denis DUCARME et René COLLIN afin d’éradiquer la peste porcine africaine. Au vu des nombreuses interrogations émises par les citoyens aubangeois, nous allons tenter de vous fournir quelques explications.

Les décisions qui ont été prises visent un seul et même objectif : éviter la propagation de la maladie au sein de la filière porc. En effet, si un seul porc venait à être touché, la Belgique et donc tous les éleveurs du pays risqueraient de perdre l’agrément européen autorisant l’exportation des bêtes. Les conséquences économiques seraient désastreuses. Le secteur représente 6 millions de porcs par an.

La stratégie 

L’interdiction de toute forme de chasse, la prohibition de nourrissage et l’interdiction de circulation en forêt poursuivent la stratégie adoptée qui est d’isoler les sangliers. C’est la phase une : on gèle la zone ! On perturbe le moins possible les animaux afin de définir un périmètre nommé « zone de confinement, à risque et/ou infectée ». Il faut empêcher que les sangliers se dispersent sur le territoire et que le périmètre s’étende. Le périmètre a été délimité par les services du DNF en accord avec la commission européenne. Une task force transfrontalière échange en continu sur la situation pour établir d’éventuelles mesures en France et au Grand-Duché de Luxembourg.

Il faut savoir que la propagation de cette maladie est relativement lente tant que le calme est conservé à l’intérieur des bois. C’est l’homme qui représente le plus grand risque de propagation. En effet, les vêtements et chaussures peuvent être infectés et transmettre la maladie lors d’un contact avec un porc.

La seconde mesure qui débute aujourd’hui : on procède à l’abattage des porcs de compagnie/ /d’engraissement/de reproduction et des porcelets tel que décidé par Monsieur le Ministre Denis DUCARME. Bien que ceux-ci soient en bonne santé, il a été jugé, qu’il est nécessaire de les sacrifier pour le plus grand nombre. On ne peut risquer une contamination des élevages porcins (filière qui représente 15 000 emplois). C’est l’AFSCA qui se chargera des procédures liées aux exploitations de plus de 10 porcs (finalisées ce samedi) alors que les porcs des exploitations de moins de 10 bêtes seront euthanasiés par un vétérinaire (d’ici mardi minuit).

De plus, tel qu’indiqué sur le site de l’AFSCA, les entrées et sorties de porcs de l’exploitation sont interdites, sauf autorisation de l’ULC et le respect des conditions imposées.

Les agents des cantonnements concernés ont débuté, la semaine dernière, la procédure de recherche des carcasses de sangliers. Le périmètre a été couvert une première fois. Les découvertes effectuées permettront à court terme de délimiter de manière précise le territoire infecté et de réduire le premier périmètre, mais également d’évacuer les carcasses qui restent des foyers viraux jusqu’à 120 jours après la mort. L’évolution des périmètres, sous différentes phases, permettra d’isoler et, dans un avenir que nous espérons tous proche, d’éradiquer la maladie.

Une fois le nouveau périmètre déterminé, le Ministre donnera injonction à ses services d’isoler la zone, notamment par l’installation de clôtures (dispositif en préparation) afin de contenir les populations de sangliers présentes. Ces dernières devront périr.

http://www.afsca.be/ppa/

http://www.wallonie.be/fr/actualites/mesures-de-lutte-contre-la-peste-porcine-africaine

Les chenilles processionnaires sont à nos portes

Ces bestioles de couleur grise avec une bande marron sombre ne sont pas mortelles. Cependant, leurs poils sont urticants et peuvent provoquer des allergies graves, des inflammations et des démangeaisons sans contact direct. Les poils peuvent, en effet, être transportés par le vent ou projeté vers un prédateur potentiel. Leur habitat unique est le chêne !

Vous pouvez les repérer sur les chênes :

  • En hiver : l’absence de feuilles sur les arbres facilite le repérage des œufs
  • De mai à début août : les nids sont visibles
  • Début août et fin novembre : repérage tardif éventuel

Malgré que la présence de la processionnaire du chêne a été récemment signalée en Wallonie, celle-ci reste rare. Nous attirons votre attention sur le fait que cette chenille n’est présente que sur le chêne et forme de grands tapis de soie sur le tronc. D’autres espèces lui ressemblant peuvent être observées sur d’autres essences mais ne représentent pas de danger pour la santé humaine.

Que faire ?

  • Vérifier si les chenilles sont bien sur un chêne
  • S’assurer qu’un grand nombre de chenilles sont présentes sur l’arbre (accolées en nid ou en procession au stade de chenille)
  • Vérifier la présence d’amas soyeux ou de nids de nymphose

Si au moins deux de ces conditions sont rencontrées, n’hésitez pas à prévenir les pompiers qui pourront vous renseigner une entreprise spécialisée dans l’éradication des nids !

En cas de doute :
Quentin Leroy
Observatoire de la santé des forêts
Avenue Maréchal Juin 23 , 5030 Gembloux
081/61 64 55
Quentin.leroy@spw.wallonie.be

Plus d’informations :
http://environnement.wallonie.be/sante-foret
Information française
Article du Journal « Le Soir »

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